Vous êtes à la recherche d'une poésie dépassant les langues et les frontières? Ou encore, vous n'êtes pas du tout à la recherche, vous y tombez. C'est ce pastout d'une langue qu'Eugène Ionesco écrit "lalangue". Lacan a repris ce terme."Quelque chose d'autre qu'il faut imaginer avant de comprendre" - Toni Morrison, Jazz
mercredi, juillet 02, 2008
De l’arbre, de l’as et de la racine
2. Plus aucune branche ne se trouve
qu’à sa place, des as et des asticots
sont rassemblés à côté
des parterres de cailloux massifs,
se retrouvant entre eux,
permettant à la tante Rosière Grimpante
et à sa nièce la Belle au bois dormant,
d’y planquer leurs pieds
si charmants pas à pas.
Elles se permettent ensuite
d’y étendre un couvre-lit et un tapis tant
de table que de sable, y vouant leurs fesses,
voilées de crêpe charmante,
jupon sur culotte,
les étalant indéformables.
Libellés :
la Belle au bois dormant,
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