Vous êtes à la recherche d'une poésie dépassant les langues et les frontières? Ou encore, vous n'êtes pas du tout à la recherche, vous y tombez. C'est ce pastout d'une langue qu'Eugène Ionesco écrit "lalangue". Lacan a repris ce terme."Quelque chose d'autre qu'il faut imaginer avant de comprendre" - Toni Morrison, Jazz
mercredi, mars 21, 2007
D'après la langue
Lumière des mènes dont
le phéno nous mène loin,
non de préférence sous la main.
Le cyclope regarde dans le vide,
s'ouvrant sur l'imagerie
télévisée. Honnêtement,
je le veux
énoncer
et il m'échappe.
Nous nous remplissons, alors,
nous nous complétons, alors,
nous nous approchons.
Y-a-t-il lumière
dans la petite mort?
Inouï comme nous perçons
phénoménalement dans lalangue
à nous souscrire notre part du chemin
Libellés :
cyclope,
imagerie télévisée,
lumière
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
odalisque

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire