Cher lecteur,
pendant un certain temps, dont la durée n’est pas certaine, le présent blog ne donnera plus de suivi, de contenu nouveau.
En effet, depuis quelque temps des mots me hantent, des visions me trouvent, jour et nuit, quelque chose pousse à naître et à se faire écrire : les huit béotitudes.
C’est Léonard Zelig, le grand béo et son attitude ‘bien vu, non connu’.
Il est possible qu’il s’agira d’un cycle de huit poèmes. Il faudrait y retrouver la hiérarchie des temps postmodernes et la place du poète dans ce monde confus d’apparences et d’apparitions, d’appareils et d’appareillages, d’apaches et de panacée.
Un simple message vous tiendra au courant de la fin du cycle et de sa publicité.
En attendant, venez m'écouter et me voir ce dimanche le 21 mars à la VUB à Bruxelles, où je suis l'invité de Bruslam, à partir de 20h.
Vous êtes à la recherche d'une poésie dépassant les langues et les frontières? Ou encore, vous n'êtes pas du tout à la recherche, vous y tombez. C'est ce pastout d'une langue qu'Eugène Ionesco écrit "lalangue". Lacan a repris ce terme."Quelque chose d'autre qu'il faut imaginer avant de comprendre" - Toni Morrison, Jazz
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