lundi, octobre 13, 2008

De quelle façon nous façonnons-nous?




Dans d’autres langues que le français, les critiques littéraires se posent la question qui lit leurs critiques. En effet, les critiques français trouvent leur place dans le monde et dans Le Monde, dans l’édition du vendredi. Elle est fort lue, même hors circuit professionnel.

Quant aux critiques néerlandophones, ils font mieux sur leurs blogs que dans les journaux ou dans les hebdomadaires, exception faite de l’hebdomadaire Knack.
Mais la question était: qui les lit? Le rédacteur final?
Eh bien, j’ose m’afficher et je lève le doigt: moi. Je commence par ladite édition du vendredi du Monde et parfois je lis l’hebdomadaire Knack, souvent en relais reporté.

Récemment, je lus une critique qui a fait oublier l’objet, le livre quoi et qui a rendu le critique incroyable, formidable même. C’était dans l’édition du 17 septembre 2008. Le livre, à titre d’information, s’intitule les étourdissements et son auteur est W.G Sebald. Et voilà que j’étais pris d’étourdissement en lisant à la fin de la critique: « De cette façon-là, Sebald, de sa façon, fait un tissu de faits et de liens compliqués et mystérieux ». Le rédacteur final était-il absent pour cause de maladie?

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