jeudi, mars 20, 2008

Pax poetica nunc (et hic)


Initialement, je voudrais écrire les dix poèmes qui constituent le cycle "mécanique de l'homme et du monde", à titre de divertissement intermédiaire, entre deux chapitres d'un thriller que j'écris depuis quelques mois.

Il s'agit d'une histoire où trois agents secrets s'occupent d'une taupe, à la demande de quelques grosses légumes.
Or, à un moment donné, je ne savais plus où le livre voulait aller. Depuis, je l'ai trouvé. Donc, j'écris un poème, pour me changer les idées, pour me divertir. C'est le numéro 1 du cycle.
Ensuite, Wilfried Adams décéda, un poète de Louvain mais depuis des décennies à Antwerpen. Le connaissant, je savais qu'il allait mal.
Hélas, peu, très peu après, avec l'effet d'une bombe, j'appris la nouvelle de la mort de Michel Bartosik, ami et poète.

Ainsi, les évènements sont intervenus dans ce cycle, qui s'est bouclé à 10. Mes primo lecteurs les ont accueillis d'une façon telle que mon souffle s'en trouvait coupé.
Entre-temps, j'ai repris le fil conducteur de mon thriller en me croyais à l'abri de la muse, in pax poetica. Cette paix fut interrompue brutalement par le Col Breitling.
En effet, la muse est un ange parfois brutal, pas toujours charmant, qui sait en corps me trouver.

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