Le jardin, mon cher bouffon, avait
l’air, à présent et aujourd’hui,
d’un parc, royaume uni des arbres.
Bientôt nous y perdons le chemin.
L’automobile, mon vieux, avait
l’air flamboyant grandiose,
pompeuse, étoiles et raies.
Bientôt nous y perdons le chemin.
Je préfère la digue,
quelques bateaux sur la rivière,
quelques arbres à mon fond,
pour y errer en éternité.
Vous êtes à la recherche d'une poésie dépassant les langues et les frontières? Ou encore, vous n'êtes pas du tout à la recherche, vous y tombez. C'est ce pastout d'une langue qu'Eugène Ionesco écrit "lalangue". Lacan a repris ce terme."Quelque chose d'autre qu'il faut imaginer avant de comprendre" - Toni Morrison, Jazz
mardi, décembre 13, 2011
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odalisque

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