vendredi, septembre 11, 2009

La fin du fils Rousseau




Chaque jour je longe et frôle
le bois sauvage, c’est à Bruxelles.
Les arbres et arbustes écrasés
poussent à peine sous le poids
de Gudule et Michel, édifice église.

Plus personne ne s’attend à ce que
Caïn tue encore son frère au bois sauvage,
Wouter y étant tué.

Voilà qu’à peine guérissent les griffes
que le premier apporte encore au deuxième.

Et qu’il est fier au bois, le sauvage,
quel onagre que ce Caïn.

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