vendredi, décembre 21, 2007

L'ami Jean



L'ami Jean, la tour pleine,
somme toute, s'efforce
dans la plaine de son paysage.

Nombre d'étoiles compte de nombreuses
étoiles, ombre après le soir
au soir, rouge à bleu.

Au départ, la ville, où retournent
les arbres dans la plaine d'antan,
bien qu'aplatie, figures au clair
de la lune. Au départ, progressivement,
le travail des hommes à maintes mains,
la ville. L'heure prend feu, le conseil
porte la nuit qui compte
de nombreuses étoiles et des ombres
rouges à bleues.
L'ami Jean compte de nombreuses mesures,
des tours élevées ou basses,
et d'un trait la ville disparaît
hors vue.

Au jour près, tombe la nuit, tu m'éclates.
Ce n'est pas du bricolage que de tenir le globe
dans son orbite. Assis plutôt, asseyons-nous,
ci d'abord, puis là. Les idées de moins en moins
comprennent ta peau présente.
Arc tendu la flèche encore sans cible,
sans que l'on voie la pulsion. Feu!
qui tombe bien éclaircit tonnerre
tombant le soir en pleine nuit.

La vogue ici se libère,
Freya, de la plage, dans les ondes,
dans les artères,
se déconstruit et danse.
La noce la nuite rouées à l'aube.

Freya dans la rue ça me dit déjà
à la lueur, pas un chat dans la rue
et tu te dégaines. Au bourgeon les fleurs
te regardent s'ouvrant tels tes boutons,
la démarche en marche en danse sur danse.
Épis blonds sortent du blé pour voir ta chevelure,
le soleil à peine levé nous nous déployons tout haut
à la terrasse, l'eau n'éclate plus dans son arrêt,
gelant l'image, où nos pieds prennent
couleur et odeur, entassés en croix,
ceci se lève qui danse hors pas et court,
nous criant à l'aube.

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