samedi, septembre 26, 2009

Avant de s’éteindre




Il est vrai qu’il se porte bien
loin, il a beau, il comporte
une contrepartie.

Le feu au phare !
pénétrant sa contrepartie
la nuit.

Et quelle tour qui le porte !?
se perdra-t-elle en se couchant, pénétrant
au-delà de la porte du temple ?

Avant de se coucher pour ne plus se lever,
le phare enfin rentre chez lui, aux ténèbres,
qui l’entendent marmonner : plus de lumière !

jeudi, septembre 24, 2009

Régime



Une tasse de café, ma tête coupée,
si elle ne contient pas la sagesse.

Pas question de me consoler ni de senseo,
il me faut une tasse d’espresso.

Et un fourneau de pipe rempli de tabac.


et le poète pom wolff avait écrit auparavant:


un café oui je veux bien


le senséo
est de tout le monde
tout comme la vérité

qui met des tranches en plaques
aux endroits
que je préfère

tranches aux endroits
où je préfère
mettre les plaques

vendredi, septembre 11, 2009

La fin du fils Rousseau




Chaque jour je longe et frôle
le bois sauvage, c’est à Bruxelles.
Les arbres et arbustes écrasés
poussent à peine sous le poids
de Gudule et Michel, édifice église.

Plus personne ne s’attend à ce que
Caïn tue encore son frère au bois sauvage,
Wouter y étant tué.

Voilà qu’à peine guérissent les griffes
que le premier apporte encore au deuxième.

Et qu’il est fier au bois, le sauvage,
quel onagre que ce Caïn.

mercredi, septembre 02, 2009

en voilà encore un

et oui, en voilà encore un du poète néerlandais Pom Wolff:


et puis le café qui ne se laisse pas oublier
ce même café qui devenait magnifique
durant la semaine de plus en plus belle
que nous avons passée ensemble
et toi des roses

peu après une fille à côté de moi
sifflait vers cohen
je goûte encore la soupe du premier soir
me disais bain, eau, en semant des pétales

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